Bonjour Diégo et Jean-Baptiste.

« Le merveilleux ordre qui fut adressé aux artilleurs de : quitter leur pièce quand la proximité de l'ennemi ne permettait plus de tirer à mitraille, et de : se replier au niveau des carrés, n'atteignit pas mes oreilles. Je continuai donc à pointer une pièce de l'unité. Je relevai la tête lorsqu'elle fut prête et je découvris, tout près de moi, des tirailleurs de la colonne d'attaque qui appartenaient à la Garde impériale puisqu'ils ne portaient pas de cuirasse mais le bonnet d'ourson. »
J'ai ajouté un peu de signes typographiques.
J'ai l'impression que ce Môssieur s'est inspiré librement des Mémoires de Cavalié Mercer !
J'ai été sur mon site chercher le lien vers le « Journal de la campagne de Waterloo » de Cavalié Mercer, voici la
page concernée (bien sûr, vous pouvez lire le reste).
À mon humble avis, ces tirailleurs appartiennent au peloton de carabiniers d'un régiment léger.
Je ne conçois pas que les Grenadiers à cheval de la Garde puissent descendre de cheval pour tirailler !
Les Anglais, comme les autres soldats, voyaient des Gardes partout !
C'est tellement plus valorisant pour celui qui écrit !
Le témoignage de Walcott semble incohérent mais je suis certain que si notre ami Bruno veut bien nous traduire la version originale nous y verrons beaucoup plus clair !
En effet, les traducteurs sont… nuls (pour ne pas dire un gros mot).
