Le Train des Équipages militaires de la Garde impériale en juin 1815
(par Jean-Marc BOISNARD).
TRAIN DES ÉQUIPAGES MILITAIRES
GARDE IMPÉRIALE
L'escadron du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale (4 Cies au départ) est recréé par décret du 08/04/1815 et organisé à Paris le 01/05 suivant. Il est chargé de transporter les fourgons des Corps de la Garde Impériale, les outils du Génie, les munitions, les approvisionnements de vivres et fourrages, les ambulances... Les Cies seront licenciées le 01/10/1815 à Tulle (Corrèze). D'après Ordres et apostilles d'A. Chuquet-Volume IV-page 599 : Le train des Équipages militaires est augmenté de 2 Cies par décret du 22/05 ce qui ne sera pas suivi d'effet mais il est plus que probable que seules les 2 premières Cies ont participé à la campagne de Belgique à proprement parler, la 3ème Cie semblant être restée en arrière et la 4ème étant en formation.
L'effectif théorique d'une Cie est : 1 capitaine commandant, 1 lieutenant, 1 sous-lieutenant, 1 maréchal-des-logis-chef, 4 maréchaux-des-logis, 1 fourrier, 8 brigadiers, 2 trompettes, 2 bourreliers, 3 maréchaux-ferrants, 2 charrons, 80 soldats pour 40 caissons, 6 soldats pour deux forges, 20 hauts-le-pied et 2 soldats pour la prolonge soit 134 hommes.
d'après le dossier ABN La Garde Impériale de 1815 (S. Delloye), le Corps compte 7 officiers et 293 sous-officiers et soldats soit 300 hommes.
d'après Les batailles oubliées-Ligny et Tradition Magazine HS N°20, le Corps compte 12 officiers et 601 sous-officiers et soldats soit 613 hommes.
d'après Armies at Waterloo de S. Bowden, le Corps compte 8 officiers et 390 sous-officiers et soldats soit 398 hommes.
d'après Napoléon's Waterloo Army de M. Dawson, le régiment compte, au 10/06, 8 officiers et 360 sous-officiers et soldats à l'armée soit 368 hommes plus 108 chevaux d'officiers, 80 chevaux de sous-officiers et 293 chevaux de trait.
d'après le Registre matricule des Cies du Train des Équipages Militaires de la Garde Impériale GR 20 YC 209, il n'y a que 3 Cies dont les deux premières sont organisées et qui comptent 12 officiers et 408 sous-officiers et soldats soit 420 hommes.
ÉTAT-MAJOR
CAPITAINE COMMANDANT CHEF D'ESCADRON Pierre Jean François GUBERT
ADJUDANT-MAJOR CAPITAINE Louis Marie THIBAUT
OFFICIER PAYEUR SOUS-LIEUTENANT Barthélémy Thomas Thérèse LIEUTAUD
QUARTIER-MAÎTRE au dépôt LIEUTENANT Louis Auguste VERY
OFFICIER D'HABILLEMENT au dépôt LIEUTENANT Leblanc
CHIRURGIEN-MAJOR François Alexis POIRSON
CHIRURGIEN AIDE-MAJOR Jean Secondat
Tableau Récapitulatif des effectifs des Cies du Train des Équipages Militaires de la Garde
PETIT ÉTAT-MAJOR
ADJUDANTS SOUS-OFFICIER Jean Baptiste DARRAS
ADJUDANTS SOUS-OFFICIER Joseph Christophe Élophe GUINET
1ère Cie
CAPITAINE François Charlemagne VATTIER
LIEUTENANT Étienne Henri PLAIDEUX
2ème Cie
CAPITAINEAntoine Félicité Bonaventure CAYARD
LIEUTENANT Louis Guillaume ROGER dit Saint-Alme
SOUS-LIEUTENANT Marchand
3ème Cie
CAPITAINE Jean Baptiste GOUBLIN
LIEUTENANT Pierre JACOPIN
ÉTAT-MAJOR
CAPITAINE COMMANDANT
CHEF D'ESCADRON
Pierre Jean François GUBERT
Né le 12/02/1776 à Draguignan (Var), fils de Pierre et de Thérèse Michel
Mort le 23/10/1855 à Cormeilles-en-Parisis (Seine-et-Oise)
Employé des hôpitaux militaires le 1er nivôse an III (21/12/1794), il fait les campagnes des ans III à V avec l'armée d'Italie excepté du 30 ventôse an IV (20/03/1796) au 03 germinal an V (23/03/1797) quand il est élu maire de Draguignan puis passe directeur le 1er floréal an VI (20/04/1798) pour embarquer avec l'armée d'Orient et faire partie de l'expédition d’Égypte de l'an VII à l'an IX. Il devient directeur principal le 1er fructidor an VII (18/08/1799) puis agent en chef le 1er pluviôse an IX (21/01/1801). Revenu en France après la capitulation d'Alexandrie, il est nommé directeur le 1er fructidor an XI (19/08/1803). A l'armée des Côtes-de-l'Océan aux ans XII et XIII, il repasse agent en chef des hôpitaux militaires le 1er floréal an XIII (21/04/1805) et participe aux campagnes d'Autriche de l'an XIV, de Prusse de 1806 et de Pologne de 1807. En Espagne en 1808, il revient en Allemagne en 1809 pour la campagne contre l'Autriche et devient capitaine commandant le bataillon d'Ouvriers d'administration de la Garde Impériale le 18/02/1810 puis passe capitaine commandant le bataillon du Train des Équipages militaires de la Garde le 01/10/1811. Il participe ainsi à la campagne de Russie de 1812 et à celle de Saxe de 1813, recevant la croix de Membre de la Légion d'honneur le 19/03/1813 et celle de Chevalier de l'Ordre de la Réunion le 12/04 suivant. Il fait encore la campagne de France de 1814 et se soumet aux Bourbons à la première Restauration, étant nommé capitaine adjudant-major du 1er Escadron du Train des Équipages militaires de la Ligne le 26/11.
Aux Cent-Jours, il retrouve la Garde Impériale en tant que chef d'escadron du Train des Équipages militaires le 13/04/1815 à 39 ans et après 20 ans et 3 mois de services et participera à la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restauration, il sera nommé inspecteur des hôpitaux militaires le 20/12/1815 et placé à Lille dans la 16ème Division Militaire le 03/01/1816. Il obtiendra sa retraite par l'ordonnance royale du 21/12/1836 avec jouissance au 06/11 précédent, étant alors ouvrier principal d'administration comptable des hôpitaux militaires.
(d'après La base Léonore du Ministère de la Culture, darnault-mil.com, seynaeve.pagesperso-orange.fr, Bulletin des Lois du Royaume de France-IXe Série-Partie supplémentaire-Tome X-1837-page 886, Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale)
ADJUDANT-MAJOR
CAPITAINE
Louis Marie THIBAUT
Né le 23/10/1775 à Saint-Leu-d’Esserent (Oise), fils de Claude Marie (praticien) et de Marie Geneviève Victoire Dumont
Mort le
Il entre au service comme soldat au 1er Bataillon des volontaires de Paris le 22/09/1791, passe sergent-major le 10/12 et sert à l’armée du Nord en 1792 et 1793, étant promu sous-lieutenant sur le champ de bataille de Jemappes le 16/11/1792. Fait prisonnier de guerre le 01/05/1793, il ne reprend du service que le 01/07/1807 à la création des équipages militaires, en étant admis comme maréchal-des-logis-chef au 7ème bataillon du Train des Équipages militaires à Vincennes. Appelé aux armées d’Espagne en 1808, il stationne à Madrid puis revient à Pau au début de 1811 où il est affecté à la 3ème Cie du 13ème bataillon du Train des Équipages militaires le 16/03/1811. Nommé sous-lieutenant le 14/04 suivant, il est muté au 9ème bataillon du Train des Équipages militaires et devient lieutenant en juillet 1812 pour participer à la campagne de Russie. Revenu de la retraite de Moscou, il réorganise son bataillon à Marienwerder en Prusse orientale et fait la campagne de Saxe de 1813. Placé au 6ème bataillon du Train des Équipages militaires le 29/10/1813, il est promu lieutenant adjudant-major au bataillon du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 03/01/1814 pour la campagne de France. A la première Restauration, il est placé avec son grade au 4ème escadron du Train des Équipages militaires le 10/11/1814.
Aux Cent-Jours, il est appelé comme capitaine adjudant-major à l'état-major des Cies du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 13/04/1815 à l’âge de 39 ans et après 23 ans et demi de services où il arrive le 27/04 et fera la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restauration, il sera appelé à concourir à la formation du 4ème escadron du Train des Équipages militaires et sera licencié puis placé en non-activité, rentrant dans ses foyers à Senlis (Oise). Il reprendra du service par la suite en servant à l’état-major du parc de construction à Châteauroux
(Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale à Thibaut, Dictionnaire des officiers du Train des équipages impérial...-page 225 à Thibault, Registres paroissiaux de Saint-Leu-d’Esserent de 1736 à 1792-page 590 avec signature Thibaut)
OFFICIER PAYEUR
SOUS-LIEUTENANT
Barthélémy Thomas Thérèse LIEUTAUD
Né le 15/02/1779 à Marseille (Bouches-du-Rhône), fils de Joseph (négociant) et d'Anne Latour
Mort le 01/04/1864.
Il entre au service comme soldat à la 2ème Cie du bataillon du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 06/02/1808 et participe à la campagne d'Espagne. Nommé brigadier le 01/01/1809, il est appelé en Allemagne cette année pour la campagne contre l'Autriche, et devient maréchal-des-logis le 30/06 puis revient en Espagne pour les guerres de la péninsule de 1810 à 1812. Il y est fait maréchal-des-logis-chef le 01/02/1812 à la 6ème Cie puis rejoint ensuite la Grande Armée pour la campagne de Saxe de 1813, passant sous-lieutenant, officier payeur et sous-adjudant-major du bataillon le 12/04 à 34 ans et après 5 ans et 2 mois d'activité. Il participe encore à la campagne de France de 1814. A la première Restauration, il est licencié et mis en demi-solde le 10/11/1814.
Aux Cent-Jours, il est rappelé au service comme sous-lieutenant, officier payeur, à l'escadron du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 13/04/1815 et fera probablement la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restauration, il sera licencié le 01/10/1815 et replacé en non-activité. Il retrouvera un poste de lieutenant au bataillon d'Ouvriers d'administration le 12/02/1823 et fera la campagne de Morée du 27/11/1828 au 24/02/1829 pour être promu capitaine le 26/12/1830. Il obtiendra sa retraite par l'ordonnance royale du 27/05/1843 avec jouissance au 22/04 précédent
(d'après La base Léonore du Ministère de la Culture, N° matricule 22 du GR 20 YC 207, Bulletin des Lois du Royaume de France-IXe Série-Partie supplémentaire-Tome XXIII-1843-page 794, Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale)
QUARTIER-MAÎTRE
au dépôt
LIEUTENANT
Louis Auguste VERY
Né le 10/03/1771 à Paris (Seine), fils de
Mort le 05/10/1815 à Paris (Seine)
Il entre au service comme soldat dans la Cie des Arts le 17/09/1793, devient sergent-major le 22/09/1793 au 18ème Bataillon des volontaires de Paris et passe sous-lieutenant le 25/10 suivant. Muté comme cavalier au 6ème Chasseurs à cheval le 29 pluviôse an II (17/02/794), il fait les campagnes de l’armée de la Moselle de l’an II à l’an IV, et devient grenadier aux Grenadiers à cheval de la Garde du Directoire le 1er frimaire an V (21/11/1796). Nommé brigadier le 26 germinal an V (15/04/1797), il devient secrétaire de place à l’état-major de la Garde avec rang de sous-lieutenant puis devient bibliothécaire de la Garde le 14 prairial an X (03/06/1802). Resté à Paris, il passe avec son grade quartier-maître à l’administration générale de la Garde rattaché au bataillon du Train des Équipages militaires le 25/11/1811 et se trouve promu au grade de lieutenant le 28/11/1813 à l’âge de 42 ans et après 20 ans et 2 mois de services. A la première Restauration, il est licencié et placé en demi-solde le 10/11/1814.
Aux Cent-Jours, il est appelé comme lieutenant quartier-maître au dépôt des Cies du Train des Équipages de la Garde Impériale le 27/04/1815 et restera au dépôt lors de la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restuaration, il sera licencié le 01/10/1815 ayant été admis à l'hôpital de la Garde de Paris début juillet 1815 et y décédera en octobre.
(Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale, Almanach Impérial à Verry, Dictionnaire des officiers du Train des équipages impérial...-page 208)
OFFICIER D'HABILLEMENT
au dépôt
LIEUTENANT
Leblanc
Né le
Mort le
Il est lieutenant officier d'habillement du bataillon du Train des Équipages de la Garde Impériale en 1812. A ce titre, il commande le dépôt du bataillon à Vincennes jusqu’au 10/11/1813. Le 18/04/1814, il devient aide-de-camp du général Dupont-Chaumont, inspecteur général d’armes et le reste pendant la première Restauration. Décoré de la croix de Chevalier de la Légion d’honneur le 29/07/1814, il est promu capitaine le 12/02/1815.
Aux Cent-Jours, il est appelé comme lieutenant quartier-maître au dépôt des Cies du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 27/04/1815. A la seconde Restauration, il sera maintenu en poste pour l'apurement des comptes des Cies de son Corps et redeviendra aide-de-camp du général Dupont-Chaumont. Admis au Corps royal d’état-major en décembre 1818, il sera attaché au dépôt de la Guerre le 20/02/1819 et sera réformé en août 1821 puis retraité en septembre 1827.
(Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale, Dictionnaire des officiers du Train des équipages impérial...-page 135 incomplet)
CHIRURGIEN-MAJOR
François Alexis POIRSON
Né le 17/05/1779 à Lamarche (Vosges), fils d'Eugène François (avocat au Parlement et procureur du Roi) et de Scolastique Erard
Mort le 14/10/1846 à Paris (Seine)
Il entre au service comme chirurgien sous-aide-major à l'hôpital militaire de Reims le 04 ventôse an II (22/02/1794) et passe à l'armée de Sambre-et-Meuse le 11 thermidor an IV (29/07/1796) pour les campagnes des ans IV et V. Nommé avec son grade à l'ambulance de la 17ème Division Militaire à Paris le 15 ventôse an V (05/03/1797), il sert à l'hôpital d'instruction de Lille le 24 ventôse suivant (14/03). Placé comme chirurgien aide-major, chargé en chef du service de Santé de l'avant-garde à l'armée de Réserve le 08 germinal an VIII (29/03/1800) qui devient Armée d'Italie, il entre comme sous-aide-major à l'hôpital militaire de la Garde Consulaire le 19 brumaire an IX (10/11/1800). A l'ambulance de la Garde Impériale à la Grande Armée pour la campagne d'Autriche de l'an XIV, il est nommé aide-major aux Dragons de la Garde le 01/05/1806 et participe aux campagnes de Prusse de cette fin d'année, de Pologne de 1807, d'Espagne de 1808 et d'Autriche de 1809. Passé chirurgien-major au 8ème Lanciers de la Vistule le 05/08/1811 alors en Espagne, il intègre le 5ème Tirailleurs de la Jeune Garde le 18/09 suivant pour la campagne de Russie de 1812. Revenu de la retraite de Moscou, il sert en Saxe en 1813 puis en France en 1814, ayant obtenu la croix de Membre de la Légion d'honneur le 20/03/1813. A la première Restauration, il est conservé en poste à l'hôpital de la Maison du Roi le 24/08/1814.
Aux Cent-Jours, il est appelé comme chirurgien-major aux Cies du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 27/04/1815 et fera la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restauration, il sera licencié et retrouvera un poste au 6ème régiment d'Infanterie de la Garde Royale le 22/11/1815 puis reviendra à l'hôpital militaire du Gros-Caillou. Nommé chirurgien en chef et chirurgien principal à son hôpital après la Révolution de Juillet 1830, il sera retraité par l'ordonnance royale du 30/03/1840 avec jouissance au 01/03 précédent.
(Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale, La base Léonore du Ministère de la Culture, Bulletin de l'Académie nationale de Médecine-Tome XII-11e année-1846 et 1847-pages 71 et suivante, Bulletin des Lois du Royaume de France-IXe Série-Partie supplémentaire-Tome XVII-1840-page 464)
CHIRURGIEN AIDE-MAJOR
Jean Secondat
Né le
Mort le
(Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale)
Tableau Récapitulatif des effectifs des Cies du Train des Équipages Militaires de la Garde
Officiers Sous-officiers et Soldats Total
1ère Cie du Train des Équipages 2 162 ou 176 164 ou 178
2ème Cie du Train des Équipages 3 132 ou 135 135 ou 138
3ème Cie du Train des Équipages 2 86 ou 91 88 ou 93
4ème Cie du Train des Équipages en formation
État-Major 5 5 10
TOTAL 12 385 ou 407 397 ou 419
MATÉRIEL
Voitures : 105 caissons - 6 ambulances - 5 forges - 2 prolonges - 111 volées d'attelage - 307 cadenas
Rechanges et accessoires : 6 roues de devant - 8 roues d'arrière - 9 timons ferrés - 20 timons non ferrés - 23 volées de rechange - 30 palonniers ferrés - 7 essieux - 14 chevilles ouvrières - 6 crochets de timon - 4 chèvres à graisser - 3 crics - 42 pioches - 41 pelles - 6 haches - 64 esses - 69 rondelles - 40 clous à bande - 60 clous estampés - 5 assortiments d'outils de forge - 3 assortiments d'outils de charronnage
d'après le registre matricule des Cies du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale...1815-SHD/GR 20 YC 209 qui comporte 807 matricules dont :
appartenant à la 3ème Cie arrivés après l'entrée en campagne : matricules 650, 651, 652, 653, 655, 656, 657, 658, 659, 660, 661, 664, 665, 666, 667, 668, 669, 673, 700, 701, 719, 720, 721, 722, 723, 726, 727, 728, 729, 730, 731, 732, 733, 734
appartenant à la 4ème Cie en cours de formation au dépôt : matricules 14, 545, 671, 672, 674, 675, 676, 677, 678, 679, 680, 681, 682, 683, 684, 685, 686, 687, 688, 689, 690, 691, 692, 693, 694, 695, 696, 697, 698, 699, 702, 703, 704, 705, 706, 707, 708, 709, 710, 711, 712, 713, 714, 715, 716, 717, 718
du matricule 735 au matricule 807 : 72 arrivés après le 18/06
8 à l'hôpital : matricules 1, 86, 90, 119, 126, 287, 374, 440
69 restés au dépôt : matricules 3, 12, 19, 21, 26, 29, 43, 55, 57, 58, 60, 61, 63, 64, 67, 75, 79, 80, 84, 85, 109, 111, 117, 142, 166, 170, 190, 214, 228, 229, 253, 257, 263, 293, 315, 318, 359, 380, 381, 388, 389, 401, 415, 436, 437, 449, 470, 509, 515, 525, 530, 533, 546, 562, 573, 579, 589, 594, 601, 602, 603, 648, 649, 654, 662, 663, 670, 724, 725
1 décédé : matricule 4
15 désertés : matricules 10, 31, 197, 199, 232, 269, 296, 352, 386, 423, 469, 489, 494, 503, 568
1 renvoyé : matricules 47
1 mis en jugement : matricule 312
1 rayé des contrôles : matricule 65
1 passé dans un escadron du Train des Équipages militaires de la Ligne : matricule 7
1 passé au 1er de Ligne : mat 396 (Sarasin Jean François)
2 passés aux Chasseurs à cheval de la Garde : matricules 100 (Dutrembloy Louis Vincent), 230 (Pagès Léonard Jean François)
37 passés au Train d'Artillerie de la Garde : matricules 219 (Lauvergeau Louis), 244 (Colinet Jean), 245 (Louis Barreau), 246 (Louis Poupeau), 247 (François Carcrillon), 248 (Pierre Champigny), 249 (André Bourgueil), 250 (Laurent Foucteau), 251 (Pierre François Bouc), 252 (Joseph Ferronet), 253 (François Deschartre), 260 (Quentin Menou), 261 (François Gaillet), 262 (Jean Marie Chandré), 404 (Claude François Baulard), 405 (Jean Baptiste Claudisse), 410 (Pierre Servin François Babot), 412 (Jacques Dominique Bréant), 418 (Jean Servant), 421 (Gabriel Bureau), 422 (Pierre Mérot), 433 (Étienne Victor Pioline), 434 (Jean Charles Mareché), 435 (Joseph Louis Rouault), 451 (Jacques Renault), 452 (Joseph Gueriot), 459 (Pierre Montois), 460 (François Neveu), 462 (François Briant), 468 (Pierre Mathieu Seigneurie), 476 (Antoine Martin), 477 (Gilles Beaufils), 481 (Pierre Mathias Laperrière), 482 (Georges Roger), 483 (Pierre Chessel), 511 (Louis Florent Noguier), 539 (François Sourzai)
4 détachés au 1er Tirailleurs de Jeune Garde : matricules 290, 291, 319, 330
7 détachés au 3ème Chasseurs à pied de la Garde : matricules 340, 361, 382, 385, 391, 398, 414
7 détachés au 1er Voltigeurs de Jeune Garde : matricules 53, 362, 367, 371, 372, 373, 383
5 détachés au 3ème Tirailleurs de Jeune Garde : matricules 438, 439, 441, 447, 455
6 détachés au 4ème Tirailleurs de Jeune Garde : matricules 424, 425, 426, 443, 444, 463
1 détaché au 4ème Voltigeurs de Jeune Garde : matricule 560
5 détachés au 2ème Chasseurs à pied de la Garde : matricules 445, 553, 555, 559, 561
1 détaché au 1er Grenadiers à pied de la Garde : matricule 465
4 détachés au 3ème Grenadiers à pied de la Garde : matricules 125, 474, 488, 538
2 détachés aux Dragons de la Garde : matricules 510, 529
3 détachés aux Cies d'Ouvriers d'administration de la Garde : matricules 570, 571, 572
PETIT ÉTAT-MAJOR
2 ADJUDANTS SOUS-OFFICIERS
Jean Baptiste DARRAS
Né le 13/02/1791 à Amiens (Somme), fils de Jean François (jardinier) et de Rose Floret. Il entre au service comme conscrit de 1811 au dépôt général des conscrits de la Garde Impériale le 10/05/1811 et passe tirailleur au 4ème Tirailleurs de la Jeune Garde le 17 de ce mois pour les campagnes d'Espagne de 1811 et 1812. Muté au 5ème Tirailleurs le 26/06/1811, il est placé à la 6ème Cie des Équipages militaires de la Garde le 21/11/1812 pour la campagne de Saxe de 1813. Nommé brigadier le 13/02 de cette dernière année, il passe maréchal-des-logis le 25/02 puis maréchal-des-logis-chef le 11/03 avant de participer à la campagne de France de 1814 avec le grade d'adjudant sous-officier. A la première Restauration, il est maintenu au service au 2ème escadron du Train des Équipages militaires le 10/11/1814.
Aux Cent-Jours, il est en poste comme adjudant sous-officier au petit état-major de l'escadron du Train des Équipages de la Garde Impériale le 20/05/1815 et fera la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restauration, il sera licencié et placé au 4ème escadron du Train des Équipages militaires le 01/10/1815
(N° matricule 365 du GR 20 YC 209-page 66 et matricule 19108 du GR 20 YC 24 et matricule 1074 du GR 20 YC 207, ses parents à https://gw.geneanet.org/fbraun?n=darras ... n+francois, Registre d'état civil de la paroisse Saint-Michel d'Amiens de 1787 à 1791-page 152, Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale)
Joseph Christophe Élophe GUINET
Né le 22/01/1775 à Neufchâteau (Vosges), fils de Christophe (notaire) et de Marie Anne Bouchon. Il entre au service comme cavalier au 10ème Dragons le 02 ventôse an II (20/02/1794) pour les campagnes de l'an II à l'an IV à l'armée de Sambre-et-Meuse. A l'armée du Rhin de l'an V à l'an VIII, il passe grenadier dans les Grenadiers à cheval de la Garde du Directoire le 24 pluviôse an VI (12/02/1798) mais est congédié le 21 fructidor an IX (08/09/1800). Rappelé au service comme adjudant sous-officier dans la 22ème brigade des Équipages d'artillerie le 1er vendémiaire an XIV (23/09/1805), alors administrée par l'entreprise Breidt, il participe aux campagnes d'Autriche de l'an XIV, de Prusse de 1806 et de Pologne de 1807. Passé au 5ème bataillon des Équipage militaire le 01/04/1807, il combat contre l'Autriche en 1809 puis est appelé aux armées d'Espagne pour les guerres de la péninsule de 1810 à 1813 et fait encore la campagne de France de 1814. A la première Restauration, il est congédié par réforme le 18/09/1814.
Aux Cent-Jours, il est rappelé en poste comme maréchal-des-logis-chef à l'escadron du Train des Équipages de la Garde Impériale le 26/05/1815, devient adjudant sous-officier au petit état-major le 06/06 et fera la campagne de Belgique de ce mois-ci. A la seconde Restauration, il sera licencié et placé au 3ème escadron du Train des Équipages militaires le 01/10/1815 et sera de nouveau licencié le 23/02/1817. Nommé gendarme à cheval à la Cie de Gendarmerie de la Meuse le 18/08 suivant, il deviendra brigadier le 22/03/1826, maréchal-des-logis le 22/05/1830 et obtiendra sa retraite par l'ordonnance royale du 16/10/1835 avec jouissance au 27/09 précédent. Retiré à Vaucouleurs (Meuse), il y décédera le 07/09/1855
(N° matricule 427 du GR 20 YC 209-page 77, La base Léonore du Ministère de la Culture, https://gw.geneanet.org/jd47?n=guinet&o ... phe+elophe, Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale)
MAÎTRE BOTTIER
au dépôt
Mathieu Henry Caron
Né le 22/09/1792 à Paris (Seine), fils de Mathieu (cordonnier) et de Claudine Mardelle. Il entre au service comme maître cordonnier-bottier à l'état-major du bataillon du Train des Équipages militaires le 30/10/1811 et reste au dépôt lors des campagnes impériales. A la première Restauration, il est licencié le 31/12/1814.
Aux Cent-Jours, il est rappelé au service comme chef bottier au Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 30/04/1815 et restera au dépôt du Corps lors de la campagne de Belgique. A la seconde Restauration, il sera licencié le 16/09/1815
(N° matricule 69 du GR 20 YC 209-page 17 à Carron et matricule 271 du GR 20 YC 207 à Caron)
MAÎTRE ARMURIER
au dépôt
Louis Henry Joseph CORNEAU
Né le 26/06/1786 à Lille (Nord), fils de Jean Pierre et de Lucie Isabelle Dhun. Chef ouvrier de l’École d’Équitation de Saint-Germain, il passe maître armurier au bataillon du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 15/06/1815 et restera au dépôt du Corps lors de la campagne de Belgique. A la seconde Restauration, il sera licencié le 01/10/1815 et rentrera dans ses foyers à Charleville (Ardennes) où il décédera le 27/02/1847
(N° matricule 633 du GR 20 YC 209-page 111, https://gw.geneanet.org/guyh3?n=corneau ... nri+joseph)
MAÎTRE BOURRELIER
au dépôt
Benjamin LOIZEAU
Né le 03/11/1794 à Boissy-Saint-Léger (Seine-et-Oise), fils de François Alexandre et de Félicité Victoire Duhamel. Il entre au service comme bourrelier, conscrit de 1814, au petit état-major du bataillon du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 07/02/1813, passe maître bourrelier le 21/05 et participe à la campagne de Saxe de cette année puis fait celle de France de 1814. A la première Restauration, il est licencié avec un congé illimité le 29/10/1814.
Aux Cent-Jours, il est rappelé au service comme maître bourrelier au petit état-major du bataillon du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 17/04/1815 et restera au dépôt du Corps lors de la campagne de Belgique. A la seconde Restauration, il sera placé au 4ème escadron du Train des Équipages le 01/10/1815. Il décédera le 16/10/1869 à Saint-Maurice (Seine-et-Oise)
(N° matricule 8 du GR 20 YC 209 et matricule 1535 du GR 20 YC 207, https://gw.geneanet.org/ploma?n=loizeau&oc=&p=benjamin, Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale)
MAÎTRE CHARRON
au dépôt
Jean Jacques PERROT
Né le 11/03/1789 à Messieux (Charente), fils de Luc et d'Anne Dumagniou. Il entre au service comme conscrit de 1809 au dépôt général des conscrits de la Garde Impériale le 21/11/1809 et passe tirailleur au 1er Tirailleurs de la Jeune Garde le 23/11 pour participer aux campagnes d'Espagne de 1810 à 1812. Muté comme chef charron au Train des Équipages de la Garde Impériale le 01/10/1811, il participe aux campagnes de Saxe de 1813 et de France de 1814. A la première Restauration, il est renvoyé dans ses foyers avec un congé illimité le 29/10/1814.
Aux Cent-Jours, il reprend du service comme maître charron à l'état-major de l'escadron du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 15/05/1815 et restera probablement au dépôt lors de la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restauration, il sera licencié et intégrera le 4ème escadron du Train des Équipages militaires le 01/10/1815 puis sera licencié le 15/11 pour rentrer dans ses foyers à Nanteuil (Charente) où il décédera le 22/02/1864
(N° matricule 316 du GR 20 YC 209-page 58 et matricule 2816 du GR 21 YC 208 et matricule 57521 du GR 20 YC 32, stehelene.org, ses parents à https://gw.geneanet.org/draymonde8?n=perot&oc=&p=luc, Registre d'état civil de la commune de Nanteuil-en-Vallée de 1863 à 1872-page 49, Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale)
MAÎTRE TAILLEUR
au dépôt
Louis Pierre POULAIN
Né le 07/02/1779 à Paris (Seine), fils de Pierre et de Catherine Momoussin. Il est admis comme maître tailleur au petit état-major du bataillon des Équipages militaires de la Garde Impériale le 01/10/1811 et reste au dépôt lors des campagnes impériales. A la première Restauration, il est licencié le 21/10/1814.
Aux Cent-Jours, il est rappelé comme maître tailleur à l'Escadron du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 30/04/1815. A la seconde Restauration, il sera licencié le 01/101815
(N° matricule 68 du GR 20 YC 209-page 17 et matricule 191 du GR 20 YC 207, Registre reconstitué des naissances de la ville de Paris de Poulain(1761) à Poulain(1791)-page 23)
CHEF DE FORGE
au dépôt
MARÉCHAL-DES-LOGIS
Jean Jérôme TERRIER
Né le 15/09/1786 à Barbézieux (Charente), fils de Pierre (vitrier) et de Jeanne Lejeune. Il entre au service comme soldat à la 5ème Cie des Ouvriers d'administration de la Garde Impériale le 10/10/1808 et passe à la 2ème Cie du bataillon du Train des Équipages militaires de la Garde devenant maréchal-ferrant au petit état-major du Corps pour participer aux campagnes d'Espagne de 1808 et d'Autriche de 1809. Revenu aux armées d'Espagne pour les guerres de la péninsule de 1810 à 1812, il est promu chef maréchal-ferrant le 16/04/1813 et combat en Saxe cette année puis revient probablement au dépôt du Corps en France en 1814. A la première Restauration, il est renvoyé dans ses foyers avec un congé illimité le 28/10/1814.
Aux Cent-Jours, il est rappelé au service comme chef de forge au petit état-major de l'escadron du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 22/04/1815. A la seconde Restauration, il sera licencié et appelé à concourir à la formation du 4ème escadron du Train des Équipages le 01/10/1815
(N° matricule 24 du GR 20 YC 209 et matricule 45 du GR 20 YC 207 et matricule 339 du GR 20 YC 210, Registre d'état civil de la paroisse de Barbézieux-Saint-Hilaire de 1776 à 1792-page 215, Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale)
VÉTÉRINAIRE EN PREMIER
Michel François MILTENBERGER
Né le 29/09/1785 à Erstein (Bas-Rhin), fils de François Antoine et de Marie Marguerite Kieffer. Il entre comme élève à l’École Vétérinaire d'Alfort le 17 vendémiaire an XII (10/10/1803) et en sort pour être nommé aide-vétérinaire aux Dragons de la Garde Impériale le 07/11/1806. Resté au dépôt en 1806 et 1807, il suit la Garde en Espagne en 1808 et vient en Allemagne en 1809 pour la campagne d'Autriche. Revenu en Espagne, il y reste de 1810 à 1811 avant d'être appelé à la Grande Armée qui entre en Russie en juin 1812. Revenu de la retraite de Moscou, il passe vétérinaire en premier au bataillon du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 10/05/1813 et participe aux campagnes de Saxe de cette dernière année et de France de 1814. Il est licencié à la première Restauration le 10/11/1814.
Aux Cent-Jours, il est rappelé au service comme vétérinaire en premier à l'Escadron du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 24/05/1815 et fera la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restauration, il sera d'abord employé au 4ème Escadron du Train des Équipages militaires de Ligne le 01/10/1815 avant d'être définitivement licencié le 16/12 suivant. Il rentrera alors dans la vie civile comme vétérinaire d'arrondissement à Sélestat et décédera le 02/04/1884 à Paris (Seine)
(d'après La base Léonore du Ministère de la Culture, Société académique du Bas-Rhin pour le progrès des sciences...-1885-page 51, N° matricule 397 du GR 20 YC 209-page 72, Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale)
VÉTÉRINAIRE EN SECOND
Antoine BELLE
Né le 29/04/1792 à Rochefort-Samson (Drôme), fils de Jean (maréchal-ferrant) et de Dominique Guignard. Il entre comme élève à l’École vétérinaire de Lyon et passe vétérinaire en premier au petit état-major du 12ème bataillon du Train des Équipages militaires le 01/09/1813 pendant la campagne de Saxe puis fait celle de France de 1814. A la première Restauration, il est licencié le 10/11/1814.
Aux Cent-Jours, il est en poste comme vétérinaire au petit état-major de l'escadron du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 26/04/1815 et fera la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restauration, il sera licencié et passera au 4ème escadron du Train des Équipages le 01/10/1815
(N° matricule 36 du GR 20 YC 209, Cité au registre XAB74-Train des équipages militaires de la Garde Impériale, Registres paroissiaux de Saint-Mamans de Rochefort-Samson de 1647 à 1792-page 408)
À LA SUITE
MARÉCHAL-DES-LOGIS-CHEF
Pierre François Joseph MOREL
Né le 09/10/1792 à Paris (Seine), fils de Pierre et de Marie Adélaïde Lorin. Il entre au service comme cavalier, enrôlé volontaire, au 5ème Hussards le 02/02/1807 lors de la campagne de Pologne. Nommé trompette le 11/11 suivant, il reste stationné en Allemagne en 1808 et retrouve la Grande Armée pour la guerre contre l'Autriche de 1809. Redevenu hussard le 06/01/1810, il est nommé brigadier-fourrier le 16/05/1812 et rejoint la Grande Armée pour la campagne de Russie de cette année, obtenant le grade de maréchal-des-logis-chef le 26/09. Revenu de la retraite de Moscou, il participe à la campagne de Saxe de 1813, étant blessé d'un coup de sabre au bras droit à la bataille de Hanau le 30/10 et fait celle de France de 1814. A la première Restauration, il est congédié avec réforme le 17/09/1814.
Aux Cent-Jours, il est admis comme maréchal-des-logis-chef à la 2ème Cie du Train des Équipages militaires de la Garde Impériale le 26/04/1815 et fera la campagne de Belgique de juin suivant. A la seconde Restauration, il sera licencié le 01/10/1815 et concourra à la formation du 3ème escadron du Train des Équipages militaires
(N° matricule 37 du GR 20 YC 209-page 12, Registre reconstitué des naissances de la ville de Paris de Morel(1786) à Morel(1797)-page 27)
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À suivre... Le détail de la 1ère Cie du Train des Équipages militaires De la Garde