Lors d'un test MAC contre MAC, l'attaquant calcule d'abord son moral en comptant l'adversaire à l'arrêt, puis le défenseur en fait de même. L'attaquant réduit alors son moral de l'allure réellement acquise par le défenseur.
Une justification de cette correction est qu'on revient, rétro activement, sur la partie "ami/eni" de son test de moral pour y intégrer la nouvelle allure prise. Cet argumentation ne fonctionne pas toujours. En effet, s'il est bien soutenu, l'attaquant pouvait avoir un bonus de +6 (plafonné à +3) dans ce rapport. S'il avait tenu compte de l'allure réelle, ses excédents au delà du plafond lui aurait permis de toujours compter +3 dans son décompte et donc l'allure prise ne devrait avoir aucune influence dans ce cas.
Ce contre argument est il justifié ?
Si non, y a-t-il un autre argument que "c'est écrit ainsi dans la règle" ?
Je ne cherche pas à remettre en cause cette pratique (qui me semble un excellent point du jeu), juste à comprendre sa philosophie et le pourquoi de son utilisation.