"No hay bien que por mal no venga"* dit un proverbe espagnol.
* En substance : Il n'y a pas de bien qui ne provienne d'un mal.
Alors "pourquoi le malheur" ?
Déjà parce-que Guido est d'abord Italien et que sa phrase en Français peut être mal interprétée.
Comprendre qu'ayant goûté à L3C il a perdu, selon ses dires, tout appétit pour les autres règles...
Ce qui l'amène à ne plus pratiquer que ladite L3C, ce qui (bis), par "dommage collatéral", le fait battre chaque semaine par son "professeur" émérite, Vincent Auger, ce qui (ter), constitue le "malheur" qu'il évoque, alors que la tournure de phrase donnerait à penser que le malheur est de m'avoir "croisé sur la toile".
Tout est donc relatif, et en retournant la démonstration nous obtenons le proverbe français bien connu :
"À quelque chose malheur est bon".
Mais bon, si chaque semaine Guido "prend bonbon", il finira bien, comme les Alliés de 1813**, à tirer son épingle du jeu et la planter dans "l'ennemi"***, au figuré bien sûr.
** "Ces animaux ont appris quelque chose" (Napoléon en 1813, parlant des Alliés).
*** "L'ennemi ? Dans le fossé les tripes à l'air !" (je ne sais plus qui, mais qui répondait à un officier demandant l'attitude à tenir envers l'ennemi).
Bref, Guido ne pense que du bien d'L3C et de sa communauté, comme il nous l'a encore exprimé, cette fois verbalement, lors de la convention JEUX VEUX de nos amis de Soucieu en Jarrest.
https://www.photorapide.com/images.php? ... Id=1644992Diégo Mané