Il n'aura échappé à personne le connaissant, que notre ami Thierry Kerdal n'était pas en forme, et c'est un euphémisme, le week-end passé. La preuve, il a l'air content sur la photo ci-dessous.
Il a par suite quitté la manifestation après le déjeuner sur place du dimanche.
Inquiet pour lui je suis allé aux nouvelles en début de semaine, et ai eu la bonne surprise de son appel téléphonique... Depuis l'hôpital où, tiré d'affaire, il était traité pour un oedème pulmonaire (eau dans les poumons).
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Rassuré de ce point vue, j'en profite pour souligner que cette circonstance particulière à bien évidemment eu un impact non négligeable sur notre bataille.
D'autant plus que cette "défaillance" involontaire de TKerdal/Doctorov, commandant en second des Russes sur le terrain (on ne compte pas Kutusov), suivit de près celle de son chef, Chambon/Barclay, parti d'urgence (c'est le cas de le dire) aux urgences de Valence pour raison familiale.
Au résultat l'état-major russe se trouva "décapité" au moment de recevoir de plein fouet l'assaut des Français. Le putatif commandant en troisième, JLMarie/Baggowout, commandant l'extrême gauche alors victorieuse des Polonais, vint bien au centre, mais pour constater qu'il était irrémédiablement percé...
C'est du moins comme cela, qu'en l'absence des rapports particuliers relatifs, j'interprète ce qui s'est passé au sein de l'état-major russe.
Les "Français" (les guillemets parce qu'en fait il s'agit des Polonais, Westphaliens et Italiens") ont aussi eu des "problèmes" sur les ailes, et j'en reparlerai, mais pas du tout au centre, ce qui a été décisif !
À suivre l'état des pertes tel que j'ai pu l'établir.
Diégo Mané