CR: une partie en Semaines

Je propose ici, d'une part un espace type "petites annonces" destiné à tous les inscrits qui ont à vendre ou cherchent à acquérir quelque chose ayant un rapport avec l'objet du site, et d'autre part la possibilité d'annoncer divers événements où d'informer au sens large de tout le relatif à l'activité ludique nous concernant. J'y ajoute l'information périodique des mises à jour du site.

Modérateurs: MASSON Bruno, FONTANEL Patrick, MANÉ John-Alexandre

CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 09 Aoû 2013, 10:18

je m'en vais vous dresser un compte rendu illustré (pas par des photos, j'étais pas en état ce jour-là) d'une partie de figurines ayant opposé les frères Masson dans le rôle des gentils Prussiens à une équipe formée de Vincent Auger, Yves Larousse et Frédéric Ecoffet dans le rôle des méchants Français.

la partie s'est jouée en minifig 25mm le 30 juillet à St Mihiel, avec les Prussiens de Denis (plus 2 bataillons des miens, plus jolis que ceux qu'il avait) contre mes Français.

les prussiens disposaient de :
    -2 régiments de ligne à 3 bataillons de 12 dont un Fusilier (2e et 14e de ligne, donc 1e et 3e de Poméranie)
    -2 régiments de Landwehr à 3 bataillons de 12 aussi (2e de Kurmark et 3e de Westphalie)
    -1 bataillon de Jäger à 12 (à moi)
    -1 bataillon de grenadiers réunis de Silésie (à moi)
    -2 batteries légères à pied à 8 pièces
    -1 régiment de dragons à 12 (1er "Königin")
    -1 régiment de hussards à 12 (8e)
    -1 batterie à cheval à 8 pièces
    pour commander tout ça, 2GBI, 1GBC et un GDI

les français disposaient de
    6 régiments de conscrits à 2 bataillons de 12 (moral 4, CCF1 et pas de compagnies d'élites, de plus, l'arbitre avait semble-t-il interdit le déploiement de compagnies du centre en tirailleurs)
    1(!) escadron (!!) de hussards conscrits à 4 (je ne connais pas leurs caractéristiques, ils n'ont fait que prendre des balles de Jäger)
    2 batteries légères à pied de 8 pièces de 6
    commandées par 3 GBI (peut-être un GBC dedans) et un GDI

(les budgets ont été fait par l'arbitre)

les ordres initiaux étaient plutôt basiques (voir primaires), du genre "taper sur l'adversaire jusqu'à ce qu'il ne bouge plus", mais une surprise attendait les deux camps au tour 1, de nouveaux ordres qui chamboulaient pas mal les dispositions et qui convergeaient; à savoir pour le prussien capturer le pont et le tenir sans autre considération valable, et pour le français à ce que j'ai compris capturer la route prussienne qui longeait le ruisseau. l'arbitre nous avait aussi informé que le terrain était plutôt lourd du fait des récentes pluies, et que le ciel, bien que dégagé à ce moment, laissait voir des nuages peu attirants.

(la suite, avec plan et mouvements un peu plus tard
MASSON Bruno
 

Re: CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 09 Aoû 2013, 17:07

"Au Feldmarschal Gebhart Leberecht von Blücher

Hier, les troupes que vous m'aviez confié ont remporté sur l'ennemi une grande victoire.
Nous avions tout d'abord l'ordre de nous avancer dans la plaine et de pousser devant nous tout ennemi que nous rencontrions, et nous nous somme trouvés en présence d'une forte division d'infanterie Française soutenue par un très faible régiment de hussards.

La zone qui devait voir notre rencontre était située entre le village de Glöstein et le pont de Dobreich sur le Bühlenbach...."


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Re: CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 09 Aoû 2013, 17:35

"...Le Bühlenbach partageant la zone de déploiement ennemie en deux, je me décidais à déployer ma brigade de cavalerie en un masque face à cet obstacle et mes deux brigades d'infanterie en une double attaque plus ou moins frontale, confiant dans la qualité du soldat Prussien et dans le fait que, une partie de son armée étant bloquée derrière le Bühlenbach, l'ennemi ne pouvait que se trouver en forte infériorité numérique.

Le déploiement ennemi me confortait dans mon impression première, car une de ses brigades d'infanterie et une de ses deux batteries se positionnaient du mauvais côté du ruisseau, que les pluies des jours derniers laissaient supposer très boueux (ce qui sera vérifié par la suite). Il disposait aussi au centre d'une brigade de 4 bataillons et une batterie de 8 pièces, et en face de ma droite d'une troisième brigade de 4 bataillons appuyés par les 120 hussards du régiment présent.

Mes dispositions initiales étaient les suivantes: à ma gauche face au Bühlenbach et à Dobreich se plaçait la brigade de cavalerie, composée du 2e Dragon « Königin » et du 8e Hussards plus une batterie à cheval, au centre la brigade confiée au Major-Général Maurer (Denis) composée du 2e de ligne, du 3e régiment de Landwehr de Westphalie et d'un bataillon de grenadiers réunis de Silésie, plus une batterie de 6 livres, et à droite la brigade du Major Karol von Evgerliebe composée du 14e de ligne, du 2e régiment de landwehr de Kurmark et d'un bataillon de Jäger de Neumark plus une batterie de 6 livres...."

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Re: CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 09 Aoû 2013, 18:22

"Juste avant de commencer notre approche, nous reçûmes votre contre-ordre nous demandant de nous emparer du pont de Dobreich à tout prix, sans autre considération envisageable. Mes dispositions étant déjà prises, et celle de l'ennemi semblant permettre une attaque appuyée depuis ma droite, je me résolvais à changer mon ordre d'attaque frontale en un mouvement de faux de la droite vers la gauche par la brigade von Evgerliebe, que je renforçais à cet effet du bataillon de grenadiers prélevé sur la brigade centrale. Celle-ci allait certainement souffrir face à toute l'artillerie ennemie, mais j'avais toute confiance en son chef pour qu'elle se montre à la hauteur de sa tâche.

Au premier mouvement, le bataillon de Jäger disposé en tirailleurs s'assurait du village Glöstein, ainsi que du bosquet verrouillant la droite du champ de bataille, faisant subir ses premières pertes aux hussards. Le 14e de ligne s'avançait vers ce village et le 2e Landwehr derrière le bosquet, la batterie se préparant à se déployer sur la droite du village, et le grenadier restant en réserve. Au centre, le 2 de ligne envoyait un mousquetaire vers Dobreich et avançait vers la colline centrale, son fusilier traversant le bois de Tinwald et le 3e Landwehr accompagnant la batterie vers le mont surplombant Dobreich. Devant ce dispositif, le 2e dragon se déployait dans la plaine et le 8e Hussards explorait les berges du Bühlenbach à la recherche de gués. Il le découvrait comme prévu très boueux (DES à la traversée, impassable pour l'artillerie).

En face la brigade Française au centre se rapprochait de Dobreich en se déployant, augmentant l'isolement de la brigade de leur gauche sur qui allait peser la première attaque prussienne. Les hussards restaient prudemment à distance du bois pour éviter les pertes dues à la compagnie de Jäger qui y était située. La batterie française au centre se déployait à moyenne portée de notre régiment de dragons..."


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Re: CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 10 Aoû 2013, 07:44

"...Le deuxième mouvement voyait les Jäger maîtres de Glostein, la batterie de la brigade von Evgerliebe se déployant avec l'appui du 2e mousquetaire du 14e de ligne, le reste du régiment traversant ce village pour déboucher de l'autre côté. Le 2e Landwehr se déployait derrière le bosquet occupé par les Jäger, son bataillon d'extrémité passant en colonne fermée en anticipation des nécessités des tours suivants. Le grenadier sortait de la réserve pour rejoindre les arrières de Glostein
Au centre le bataillon de mousquetaires du 2e de ligne face à la colline centrale passait en ligne , avec à droite le Fusilier du régiment en colonne et à gauche le 1er bataillon du 5e Landwehr. La batterie de brigade se présentait sur le mont derrière Dobreich et commençait à se déployer derrière l'écran des dragons qui recevaient leurs premiers boulets venant de la batterie du centre. Le dernier mousquetaire arrivait à proximité de Dobreich. Pour la cavalerie, les dragons continuaient à masquer le déploiement de l'infanterie, et un escadron de hussards passait le Bühlenbach pour faire réagir la brigade française en face et éviter qu'elle accable la brigade Maurer.

Du côté français, la brigade de gauche déployait ses trois bataillons menacés par notre batterie de droite en ligne et progressait par sa droite, ouvrant ainsi ses intervalles. Cette même batterie envoyait ses premiers boulets dans les rangs français à portée moyenne. Le centre ennemi avançait prudemment ses canons, soutenus par un de ses régiments d'infanterie, alors que l'autre s'élançait à l'assaut de la colline centrale. La brigade de droite, pour parer la menace des hussards, déployait deux bataillons en ligne à l'extrême droite, dans un endroit où ils ne pourraient avoir aucune action offensive du fait du ruisseau, et positionnait sa batterie à droite du pont soutenue par son dernier régiment d'infanterie....

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Re: CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 10 Aoû 2013, 19:36

"...Au troisième mouvement, les Jäger abandonnaient Glostein à deux compagnies du fusilier du 14e de ligne et se précipitaient au devant des français à qui ils faisait subir des pertes sensibles, le 1er mousquetaire du régiment se repositionnait près à attaquer la ligne française et le deuxième, laissant le soutient de la batterie au 2e Landwehr, se dépêchait de rejoindre le reste de son unité de l'autre côté du village. le reste du régiment de landwehr s'avançait prudemment dans la plaine, ne voulant pas gêner le feu de notre artillerie. Le grenadier attendait que le passage au travers du village soit libre pour suivre le mouvement (en fait, je l'ai oublié au premier tour, donc il est à la bourre, mais ça n'aura aucune importance). Au centre, les troupes du général Maurer commencent à attirer les boulets des 16 pièces ennemies, mais restent stoïques sous le feu. Les dragons, partiellement masqués à la batterie de la droite française, n'attirent le feu que de la batterie du centre et peuvent se permettre de rester sur place, alors que la batterie à cheval se déploie derrière eux et progresse.

Du côté français, les bataillons du régiment d'extrême gauche tentent d'éviter nos boulets et se déplacent latéralement alors que le régiment suivant avance résolument vers le centre pour se lier avec la brigade du centre. La brigade est alors coupée en deux. Un régiment du centre prend possession de la crête de la colline centrale et se prépare à attaquer les deux bataillons du 2e régiment placés en contrebas. De ce fait il commence à présenter le flanc au village occupé par le 14e régiment, et je prévois de le faire attaquer par le grenadier et la moitié du fusilier disponible. Toute l'artillerie française se déchaîne contre le mousquetaire du 2e régiment disposé en ligne, mais la portée trop longue empêche ce feu d'être insupportable, et les poméraniens font face. À l'extrémité droite du dispositif ennemi, les deux bataillons de l'autre côté du Bühlenbach disposés en ligne forcent l'escadron de hussards qui avait passé le ruisseau à le retraverser, mais rien de concluant ne se passe...."

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Re: CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 11 Aoû 2013, 05:45

"...Au quatrième mouvement, vient le temps de l'offensive. La batterie de la brigade Evgerliebe fait un pivot à gauche et tire à bout portant sur la ligne française du régiment de tête de la brigade gauche, pendant que le premier mousquetaire du 14e l'attaque de front, précédé d'une nuée de Jägers. Le résultat est sans appel, les français se débandent sans attendre le choc (test de moral de l'attaquant « charge », test du défenseur « feu inefficace », suivit de retraite avant le choc)l'impact de nos soldats finit de faire dérouter l'unité, ce qui désuni l'autre moitié du régiment (test pour unité en déroute voisine, avec ennemi dans le dos, résultat « 3 »« doit descendre d'une case » car oubli du GB de s'attacher à l'unité). Le deuxième mousquetaire se prépare à attaquer le bataillon restant, le demi-fusilier forme la ligne et le grenadier finit de traverser le village. Le 2e Landwehr avance dans la plaine et les Jägers du bosquet font fuir les hussards français. Au centre rien ne bouge en attendant la décision qui doit se produire à droite, les batteries finissent juste de se déployer, et donc un escadron de dragons démasque la batterie à cheval pour se replier en deuxième ligne.à notre gauche le 1e mousquetaire du 2e de ligne rentre dans Dobreich et le jardin attenant et commence à l'occuper sans interférence de l'ennemi

Du côté français, le brigadier de gauche rallie le bataillon désuni, et le deuxième régiment continue son mouvement latéral. Le régiment de la brigade du centre qui avait pris la crête se lance à l'assaut du Fusilier du 2e de ligne, mais se désuni dans sa charge en descente et subit des pertes de l'écran de tirailleurs du bataillon. Il subit un feu du bataillon de mousquetaires voisin et est contrechargé par le fusilier, qui le rejette sur la crête (moral « charge », 5% de pertes au feu, donc descend « Pas accéléré », ennemi attaqué prend 2 allures donc descend « Pas Ordinaire » et perte du CAC de 1 point donc mis en repli désordre). Voyant les troupes de notre droite qui se dirigent vers lui et la fuite du premier bataillon de la brigade de leur gauche, le brigadier français du centre redirige un des deux bataillons de son 2e régiment vers la colline centrale pour soutenir son offensive. Ce sera malheureusement trop peu et trop tard.

La fin du tour voit le premier mousquetaire du 14e se replier vers sa ligne pour se reformer; il se trouve alors dans le flanc du bataillon qui vient juste de se reformer...."

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Re: CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 12 Aoû 2013, 09:25

"...Au cinquième mouvement, je continue mon offensive sur la droite; ma batterie se replace face au régiment attardé de la gauche française, le 2e Landwehr continue son avance pondérée, la compagnie de Jägers qui occupait le bosquet en sort pour se placer devant eux et continue à faire subir des pertes aux hussards français. Le deuxième mousquetaire du 14e attaque le bataillon restant du régiment de tête de la brigade de la gauche française et le met en déroute malgré les efforts du général de cette brigade (test de moral « charge », test du français « arrêt » malgré le général en tête, français mis en retraite au CAC, échec du test de contrôle des prussiens qui poursuivent). Le demi-fusilier vient faire un feu à portée moyenne de front sur le bataillon restant du régiment ayant attaqué le 2e de ligne et les grenadiers attaquent de flanc. Le bataillon s'enfuit avant le test et donc sans pertes, mais nous prenons la crête avec nos Jägers.

Du côté Français, le tour se limite à un retrait du régiment restant de la brigade de gauche, le divisionnaire arrête la retraite du premier bataillon battu de cette brigade en attendant de faire de même avec le deuxième le tour suivant. Au centre la batterie française se repositionne pour faire face à la menace sur le flanc de la brigade, mais sans oser se tourner complètement pour ne pas présenter le flanc aux 16 canons prussiens déployés face à sa première position. Le général de la droite française décide de repositionner sa batterie plus en arrière de façon à ne plus être gêné par le pont. Les deux bataillons de l'extrême droite s'alignent sur le Buhlenbach et font des feux de file à longue portée sur les hussards qui les attendent de l'autre côté...."

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Re: CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 15 Aoû 2013, 07:47

"...Au sixième mouvement, je fais une pause dans mon attaque, car l'ennemi a fuit si vite que je ne peux plus coordonner mes offensives comme je le désire. De plus un tour d'attente me permettra de reformer le bataillon ayant attaqué le premier pour assurer mon flanc contre un retour offensif de la brigade de la gauche française, peu probable mais possible. Je me contente de rapprocher tout mon monde des positions optimales de départ. Le 2e landwehr (le bataillon d'extrême droite en colonne fermée), les Jägers et la batterie qui leur est attachée continuent à repousser doucement le reste des français de gauche à l'écart du reste de leur armée

les français tentent de sauver ce qu'il reste de leur centre en repositionnant les deux bataillons revenant de leur propre attaque au centre en ligne avec le seul bataillon formé du coin; malheureusement pour eux, l'un est sans formation et l'autre désordre. Le divisionnaire arrête la fuite du deuxième bataillon de la brigade de gauche, et le premier commence à se reformer en ligne avec sa brigade, bien loin des zones importantes du champ de bataille. La batterie de la droite française se redéploie et tire, mais de bien loin, sur les miliciens du 3e régiment, qui n'ont rien demandé, mais qui auront bien attiré les boulets pendant ce combat...."

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Re: CR: une partie en Semaines

Messagepar MASSON Bruno sur 15 Aoû 2013, 07:51

"...Le septième mouvement voit le coup de grâce asséné au centre français, et l'armée ennemie se met alors aussitôt en retraite, nous abandonnant le terrain sans conteste. A la gauche, le Major von Evgerliebe se replace pour coordonner une attaque des miliciens du 2e régiment sur les français n'ayant pas encore combattu. L'assurance de la victoire proche donnera à ces troupes l'allant nécessaire pour forcer l'ennemi à quitter le champ de bataille (bon, en fait j'ai juste fait match nul, mais il était SAF face à mon 2e bataillon formé, donc il avait intérêt à partir très vite s'il ne voulait pas que je lui donne de l'élan), masqué par le reste de ses hussards.
Le 1e mousquetaire du 14e de ligne se place en ligne face au bataillon qu'il vient de battre et qui se reforme et le 2e se reforme pour suivre la marche en avant irrésistible des grenadiers.
Au centre, le mousquetaire du 2e de ligne passe la crête et attire un feu concentré de la batterie française qui lui est opposée. C'est dur pour ce bataillon éprouvé qui a eu une tâche ingrate tout au long de la journée, mais il tient bon, comme toujours. Ce mouvement accapare cette batterie pendant que le grenadier charge les deux bataillons en cours de reformation et les met en déroute, et que le demi fusilier du 14e (l'autre moitié qui avait garni Glostein arrivant sur ses arrières mais n'ayant pas le temps de rejoindre avant l'attaque finale) vient délivrer un feu à courte portée qui fait dérouter le dernier bataillon français formé à travers la batterie, dont les servants abandonnent les pièces.

La division française, démoralisée, quitte alors le combat et nous laisse 8 canons et de nombreux prisonniers, poussée par la brigade de cavalerie qui trouve là l'occasion de venger ses morts.

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