Je suis tombé par hasard sur une traduction d'un ouvrage russe en anglais, pour une somme dérisoire, sur les tactiques russes entre 1796 et 1809, qui déborde souvent sur les époques plus tardives.
 Je l'ai lu avec plaisir, d'autant que j'ai pu le comparer avec mes données sur les combats de Finlande et de Pologne.
 Je l'ai lu avec plaisir, d'autant que j'ai pu le comparer avec mes données sur les combats de Finlande et de Pologne.Pour les Suédois, il s'agit en fait de comprendre, par recréation toute artificielle, certes, mais quand même, des situations qui en l'état de nos données auraient eu des résultats différents de ceux qui ont eu lieu (y compris en tenant compte des ordres).
Il s'avère que l'on a beaucoup d'à-priori sur les Russes
 et sur les troupes suédoises
 et sur les troupes suédoises   très loin d'être justifiés. Le premier d'entre-eux est la rigueur, voire l'enfermement pratique, des troupes légères russes, ainsi que leur faiblesse au feu. Le second est sur l'artillerie et son efficacité.
  très loin d'être justifiés. Le premier d'entre-eux est la rigueur, voire l'enfermement pratique, des troupes légères russes, ainsi que leur faiblesse au feu. Le second est sur l'artillerie et son efficacité.Pour septembre, j'émettrai des idées pour ces deux nations.
D'ici là , bonne fin d'été



































