La seconde phrase ne pose pas de problème en soi (hormis lors du détachement de compagnies légères, mais ceci fait l'objet d'un message séparé).
Pour la première, j'ai vu au cours de mes parties 2 interprétations légèrement différentes
- L'effectif avant l'action testé est celui du bataillon en début de partie
- L'effectif avant l'action testée est celui au début du tour, juste avant l'action testée
Prenons quelques exemples
- un bataillon de 12 figurines a perdu 5 PAP, dans l'option 1 il a moral +3 (12 figurines initiales) -2 (15% de pertes) pour un total de 1, dans l'option 2 il a moral +2 (11 figurines initiales) -2 (15% de pertes) pour un total de 0
- un bataillon de 12 figurines a perdu 1 PAP, dans l'option 1 il a moral +3 (12 figurines initiales) -1 (5% de pertes) pour un total de 2, dans l'option 2 il a moral +3 (12 figurines initiales) -1 (5% de pertes) pour un total de 2
- un bataillon de 16 figurines a perdu 9 PAP, dans l'option 1 il a moral +3 (16 figurines initiales) -2 (20% de pertes) pour un total de 1, dans l'option 2 il a moral +3 (13 figurines initiales) -2 (20% de pertes) pour un total de 1
- un bataillon de 16 figurines a perdu 1 PAP, dans l'option 1 il a moral +3 (16 figurines initiales) -0 (0% de pertes) pour un total de 3, dans l'option 2 il a moral +3 (16 figurines initiales) -0 (0% de pertes) pour un total de 3
N.B.1 : le cas d. est une application aveugle de la règle (1 PAP sur 16 figurines est arrondi à 0%) mais la plupart des joueurs ne compteraient que +2 d'effectif.
N.B.2 : L'interprétation n°2 est toujours égale ou plus défavorable que la première, car le nombre de figurines au début d'un tour est toujours inférieur ou égal à celui en début de partie.
N.B.3 : je me demande si, dans le cas c., certains joueurs amateurs de gros bataillons et utilisant l'interprétation n°2 n'auraient pas tendance à compter un moral +3 total en arguant des plus de 12 figurines malgré les pertes déjà subies et "oubliant" d'appliquer la seconde ligne.
Personnellement, je préfère l'interprétation n°1 car elle rend l'application de la seconde ligne plus logique : on compte l'effectif initial, puis les pertes subies sur cet effectif, puis les pertes subies pendant l'action sur les survivants.