Un bataillon russe en colonne charge un espace construit
La maison est occupée par une compagnie de tirailleurs
Juste derrière se trouve un carré de légers français dont s'est détachée la compagnie
On teste le moral des Russes pour charger la maison : Moral 10 : en charge
On teste le moral des tirailleurs : Moral 8 : FEU à P2 inefficace
Les tirailleurs sont chassés de la maison et les Russes arrivent dedans, à quelques millimètres du carré.
Le joueur Russe décide de poursuivre sa charge contre le carré sans s'arrêter dans la maison (il a tout juste la distance requise).
Test du moral des Russes : Moral 12 : en charge (ils sont devenus SAF mais n'ont plus le malus du couvert moyen tenu par l'ennemi)
Test du moral des Français : Moral 4 : FEU à P3 inefficace (ils sont sous feu d'une batterie russe)
Le moral chute à -5 après prise en compte de l'allure résiduelle des Russes et les légers commencent un repli
QUESTIONS :
- la gestion de cette charge en 2 étapes est elle correcte ?
N'aurait il pas fallu tester directement la charge contre le carré avec son écran de tirailleur ? - Y a-t-il mêlée entre les Russes et le carré ?
Le repli du carré l'amène en effet au delà de la portée de charge des Russes et il était bien au delà de la DT au début de la charge- S'il y a mêlée, je suppose que le résultat fera chuter son moral à partir du niveau Repli
Dans cette mêlée, combien d'allures d'écart auront les Russes, 3 car ils sont en charge ou bien 4 car Charge contre Repli ? - S'il n'y a pas mêlée, le carré subit il les pertes automatiques d'une fuite à DT d'un ennemi ?
A combien s'élèvent elles dans ce cas sachant que le bataillon russe a 3 figurines de front ?
- S'il y a mêlée, je suppose que le résultat fera chuter son moral à partir du niveau Repli
Histoire de compliquer un peu plus, le repli du carré ouvre la voie pour la charge d'un autre bataillon français, en opportunité contre le bataillon russe (SAF en sortant de la maison, DES après le combat avec le carré s'il y en a un). N'ayant plus aucun soutien de l'autre côté de la maison, les Russes prennent la fuite dès que le bataillon français en soutien/opportunité s'élance.