Merci Thierry, pour ces précisions qui complètent celles déjà formulées lors d'une communication téléphonique.
Elles tendent à rehausser mon appréciation de la performance de Ney (le joueur) que j'ai dans mon débriefing taxé de "timoré", ce qui, bien sûr, n'a pas plu au "maréchal"...
Nous sommes là très exactement dans le même état d'esprit qui fut celui de Napoléon, qui attendait beaucoup de l'intervention du (vrai) maréchal Ney et fut déçu dans cette espérance malgré l'énergie colossale qu'il déploya, laissant 10000 de ses hommes sur le carreau.
Tout ceci est bien développé dans mon article relatif, ici :
http://www.planete-napoleon.com/docs/Pl ... autzen.pdfMais j'ai aussi pu constater sur les photos d'autres reportages que le mien (qui illustre mon "après la bataille") qu'il fut nonobstant méritant (comme le vrai maréchal), compte tenu de l'opposition de qualité à laquelle il fut confronté...
Et à défaut de pouvoir interdire physiquement le repli de Blücher, circonstance où le vrai Ney fit écraser en vain une de ses divisions (Ricard), notre Ney ludique parvint à le rendre coûteux par le placement de son artillerie qui, à travers Kleist ravageait de flanc ceux de son chef en repli devant Soult/Bertrand.
Bref, moi aussi je viens de rendre à César ce qui lui revenait et ne figure pas dans "le bulletin" !
Dont ' acte, et toute cette sorte de (bonnes) choses...
Diégo Mané