"Wachau 2013 à Lyon", les 23-24 novembre

[REMY Nicolas-Denis]

Je suis bon pour le repas du samedi soir et accueillir des ludiques chez moi ( deux ou trois, au maxi 4)

[FONTANEL Patrick]

Je serai aussi au repas du samedi soir.

[MANÉ Diégo]

Dernières nouvelles du front de Wachau, assorties des rôles envisagés mais encore susceptibles de changements comme vient de l'illustrer la "défection" bien involontaire de Michaël Ronchetti qui se trouve actuellement hospitalisé au cardiologique et ne croit pas pouvoir être en condition à temps. J'ai donc joué aux chaises musicales.

* = participation au repas du samedi soir, pour lequel ne se sont pas encore positionnés :
AGASSEAU Johann, BAUZIN Yann, GANTILLON Jean-François. Pas de participante féminine.

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AGASSEAU Johann, Prussien Ziethen, présence incertaine le dimanche.

BAUZIN Yann, Prussien Kleist.

* BEYER Olivier, Français Victor.

CHAVANOUD David (conscrit "chapeauté" par Thomas Kracht) début d'AM du samedi seulement.

COLOMB Antoine, Français Milhaud.

DOMINIQUE Cédric, le dimanche seulement.

* FONTANEL Patrick, Français Napoléon / arbitrage.

GANTILLON Jean-François, à l'intendance (chargé du repas du dimanche midi) et reportage photo.

HOUAL Benjamin, passera samedi avec sa fille, entre 15 h 00 et 17 h 00 et ne jouera donc pas.

JUENET Christian, le samedi 2e partie d'après-midi, et dimanche matin peut-être.

* KERDAL Thierry, Autrichien Klenau.

KRACHT Thomas, Franco-Polonais Poniatowski.

* MANÉ Diégo, organisateur, Tsar Alexandre (pour rigoler).

* MANÉ John-Alexandre, Russe Barclay, finalement les deux jours.

* MANÉ Michaël-William, Français Macdonald.

MARTI Basile, Autrichien Hessen-Homburg.

* MASSON Bruno, Autrichien Schwarzenberg / arbitrage.

MORTIER Jean-Baptiste, Français Sébastiani.

* MOURGUES Georges, Français Lauriston.

* REMŸ Nicolas-Denis, Russe Wittgenstein.

* SCOTTO Salvator, Français Murat.

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Donc 21 participants dont 16 joueurs à l'heure ou je mets sous presse.

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Ah, un dernier coup du sort.

Nous devrions recevoir nos tapis Hotzmats... la semaine prochaine !

Et donc le super remake sur hexagones sera pour une autre fois !!

Diégo Mané

[AGASSEAU Johann]

je suis désoler de répondre aussi tard je suis assez bousculer par le temps ...donc, je serais pas présent pour le restaurant samedi ce soir.

[FONTANEL Patrick]

Félicitations Diégo pour cette reconstitution fort belle et bien organisée.

Merci aussi à tous ceux qui ont prêté leur figurines, à Jeff pour l'intendance du dimanche, à ceux qui ont contribué aux agapes diverses (Bruno saucisson, Olivier viennoiseries, Salvator bières, X bière, Y bières, Z autres bières, ...etc.)

Enfin merci aux participants pour la bonne ambiance et notamment à tous ceux qui sont toujours cool ou pacificateurs quand la grogne a parfois montré le bout de son nez.

Napo-Tournon,

[FONTANEL Patrick]

39ème bulletin de la Grande Armée

Première relation de la Bataille de Wachau II - 17 octobre 1813

Depuis le Grand Quartier Général, au soir de la bataille.

Victoire !

Bien qu’étrillés la veille, le 16 octobre, sur le même champ de bataille, l’ennemi a cru bon de profiter de puissants renforts et de la méprise de son haut commandement, qui pensait la Grande Armée plus au nord, pour attaquer du sud en direction de Leipzig.
Progressant de bon matin dans un brouillard épais qui masquait leurs mouvements, les colonnes coalisées sont venues donner droit, vers 10 heures du matin, sur les positions de l’armée française victorieuse de la journée précédente.

D’abord étonné de constater l’acharnement de l’ennemi à vouloir succomber sous les feux meurtriers des soldats français, l’Empereur eut tôt fait de confirmer les excellentes dispositions dans lesquelles les différents corps de première et deuxième ligne étaient établis.
Sur notre aile gauche, les austro-prussiens surgirent de Gross Possnau pour accabler le corps de Macdonald qu’appuyait la cavalerie de Sebastiani. De violents combats débutèrent dans la partie nord du bois de l’université.
Sur notre aile droite, les puissantes colonnes autrichiennes s’abattirent sur le corps de Poniatowski lui-même soutenu par le corps de cavalerie de Sébastiani.
Au centre, les corps de Jeune Garde de Mortier et Oudinot encadraient celui de Lauriston situé autour de Liebert-Wolkwitz. Le corps de Victor prolongeait ce dispositif à droite autour de Wachau.
Notre centre gauche fut attaqué par plusieurs corps russes, tant d’infanterie que de cavalerie alors qu’une armée prussienne assaillait notre centre droit.

Au beau milieu de sa ligne, à l’est de Wachau, l’ennemi tenta d’aligner une grande batterie d’artillerie en réunissant l’élite de cette arme dans toutes les nations coalisées auxquelles étaient jointes toutes les batteries lourdes de réserve.
Dans les premiers temps, cette formidable artillerie se contenta de bombarder à portée longue le corps de Lauriston, sans oser s’avancer plus près : sans doute parce que l’ennemi était conscient qu’il se serait exposé à une contre attaque imparable.
Puis un immense duel d’artillerie opposa ces batteries de réserve russes et prussiennes aux batteries de réserve de la Garde Impériale venues se joindre à l’artillerie du 2ème corps de Jeune Garde de Mortier et à celle du Corps de Lauriston.
La supériorité de nos artilleurs, en particulier ceux de la Garde, a fini par éteindre le feu ennemi qui se mua en léger bombardement.
Sous la pression de quelques régiments de cavalerie légère de la Garde, les survivants de cette masse d’artillerie coalisée auraient été emportés sans le sacrifice des Gardes du corps prussiens.

Les corps de cavalerie de Milhaud et Doumerc, ainsi que la Garde Impériale formaient les réserves que l’Empereur n’a engagées qu’en partie.

L’ennemi a été repoussé partout. Les troupes de Macdonald ont complètement battu leurs adversaires. Les braves Polonais de Poniatowski furent inébranlables et notre cavalerie fit merveille sur tous les secteurs.
En particulier, les dragons de Milhaud ont chargé héroïquement et ont emporté la totalité de la batterie de 72 pièces que l’ennemi avait voulu établir à l’ouest de Wachau.
La Grande Armée a non seulement conservé ses positions initiales mais s’est aussi emparé de Gross Possnau et de tout le bois de l’université nord.
La Garde russe à pied tout comme les gardes prussiens à pied ont été notablement repoussés par l’infanterie et la cavalerie de Jeune Garde qui ont encore écrit des pages de gloire pour ce corps d’élite.

Toutefois, notre perte a été sensible du fait du bombardement intensif que l’ennemi a déclenché après avoir vainement tenté d’entamer nos vaillantes troupes. 5 à 10.000 braves sont tombés et plusieurs dizaines de pièces d’artillerie ont été démontées.
Mais la perte de l’ennemi a été épouvantable, d’environ 30.000 hommes et 200 pièces d’artillerie, ce qui devrait amener son effondrement rapide dans les jours à venir.

Le temps fut bas mais est demeuré sec jusqu'à 3 heures de relevée où un orage violent mit fin aux combats, ce qui permit à l'ennemi de stopper l'hémorragie de ses forces.
L’empereur n’eut pas à quitter le grand quartier général.
La Garde n’a pas donné.
L’Empereur se porte bien, le moral de l’armée est haut.
Enfin, la santé du Roi de Rome et de l’Impératrice n’a jamais été meilleure.

Vive l’Empereur !

[MANÉ John-Alexandre]

Bonjour à tous,

Juste pour vous dire que ce fut un plaisir de vous revoir. Je n'avais pas participé à une grande bataille depuis mon Essling 2009 que j'avais organisé à Lyon... Je n'avais pas joué non plus depuis Iéna 2006 puisque j'avais arbitré à Friedland en 2007. Bref... 7 années sans grandes batailles, ça commençait à faire long. Peut être est-ce mon deuil du bicentenaire de la mort du Maréchal Lannes qui m'a éloigné des tables

Grand merci à Diégo qui s'est appuyé encore beaucoup de travail (on ne peut imaginer), à Bruno pour sa forte contribution figurinistique , à JFG pour le repas nickel du dimanche et à vous tous pour vous être joints à cette réunion "familiale"

A suivre... Mon compte rendu qui ne tardera pas à faire taire les trompettes françaises

Amitiés

[REMY Nicolas-Denis]

Ah les exagérations épiques !
Je rappellerai aussi à notre éminent chef français le nombre de gentillesses faites aux joueurs français pour éviter des destructions totales ( notamment sur son aile gauche).
Mais à part certaines choses déplaisantes et des sauvetages (tout à fait compréhensibles d'arbitrage) afin d'éviter des catastrophes qui auraient plombé la partie, ce fut un moment agréable et très bien ravitaillé (merci encore à Jeff).
Je remercierai aussi encore ceux qui ont participé au rangement de la salle, ce qui permet de montrer que l'on est des gens civilisés.

[MORTIER JeanBaptiste]

Bonjour à tous,

Juste pour vous dire que ce fut un plaisir de vous revoir. Je n'avais pas participé à une grande bataille depuis mon Essling 2009 que j'avais organisé à Lyon... Je n'avais pas joué non plus depuis Iéna 2006 puisque j'avais arbitré à Friedland en 2007. Bref... 7 années sans grandes batailles, ça commençait à faire long. Peut être est-ce mon deuil du bicentenaire de la mort du Maréchal Lannes qui m'a éloigné des tables

Grand merci à Diégo qui s'est appuyé encore beaucoup de travail (on ne peut imaginer), à Bruno pour sa forte contribution figurinistique , à JFG pour le repas nickel du dimanche et à vous tous pour vous être joints à cette réunion "familiale"

A suivre... Mon compte rendu qui ne tardera pas à faire taire les trompettes françaises

Amitiés

Ce fut un plaisir partagé. Remerciements à Diégo Mané pour l'organisation, à Bruno Masson et Patrick Fontanel pour l'arbitrage et aux joueurs pour leur participation.

[MANÉ Diégo]

Je relaie un message de Cédric Dominique sur mon mail perso.
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Salut Diégo,

Toujours pas sur le forum du club (je suis décidément incorrigible !), aussi je t'envoie ce message en privé mais il peut être relayé sur le site si tu le juges utile car j'imagine qu'il doit faire écho à des réactions similaires.

Pas de grands éloges dimanche soir après la partie car la tête était encore à la bataille mais un grand merci à toi, et à tes fils qui n'ont sûrement pas manqué d'apporter leur pierre à l'édifice, pour ce bel événement. Comme toujours une belle table et de belles figurines, animées par de vieux grognards rusés comme de jeunes conscrits prometteurs ; bref une alchimie subtile réussie qui donne tout son charme à ces moments privilégiés passés ensemble.

Toujours un très vif plaisir de participer à ces batailles et impatient de profiter de tous ces beaux bicentenaires qui arrivent ........... .

Une petite attention aussi à Bruno pour le prêt de ses figurines, son compétent et patient arbitrage ; à Jeff qui a assuré l'intendance avec l'application qu'on lui connait.

Vivement la prochaine !

Amicalement,

Cédric
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Salvator Scotto m'a également adressé ses compliments mais par téléphone car, point commun avec son et notre ami Cédric, il a oublié qu'il possède un compte sur Planète Napoléon, il est vrai inactif depuis 2008 ou 2009, et dont le mot de passe, devenu caduc, doit les inhiber comme beaucoup, mais ne résisterait pas longtemps à une action concertée des trois armes !

[FONTANEL Patrick]

Qui a dit "menteur comme un bulletin de la Grande Armée" ?
Qui ose dire que l'Empereur s'abaisse à rédiger lui-mêmes les relations de ses batailles ?
Quand aux trompettes qu'on entend le mieux, ce sont celles qui résonnent le plus !

Ceci étant dit, le grand reporter de l'époque qui a rédigé le 39ème bulletin de la Grande Armée n'était que pigiste (sous-aide secrétaire, comme on dirait à l'époque) et en sus pressé par le temps : la mise sous presse était imminente ! Alors forcément quelques détails ont pu légèrement être déformés.

De toute manière, les compte-rendus détaillés des commandants de corps de la Grande Armée rétabliront la vérité dans ses moindres détails...
Ce ne sera plus de trompettes dont il faudra parler mais bien d'un orchestre symphonique "à la gloire des armes françaises"

Bruno (ou Mr Météo ?), j'ai apporté quelques corrections infimes en réponse à tes remarques insidieuses et quasiment infamantes. L'Empereur réfléchit à te mettre la justice sur le dos pour diffamation.
Et d'abord t'étais où toi sur le champ de bataille, hein ? Je ne t'ai pas vu sous le feu et la mitraille, non mais !!

[AGASSEAU Johann]

Je remercie les organisateurs, j'ai passé un très bon week end sinon pour le rapport de l'empereur ....

Moi, Général Ziethen dois m'exprimer sur la brillante victoire de mon armée et de mon allié autrichien !! car nous avons parfaitement rempli notre mission et avons plusieurs fois mis en déroute l'élite française !!

La cavalerie de Landwehr a mis en déroute de l'infanterie de ligne et poussé le désordre dans les rangs français !! et même affaiblis les fiers cuirassiers prussiens en embuscade ont brisé la fine fleur de la cavalerie française !!

Enfin, nous avons éliminé deux généraux de cavalerie français, Sébastiani et Roussel, donc non Monsieur Napoléon, le flanc gauche allié a tenu et sa gloire sera chantée pendant des siècles !!

[BEYER Olivier]

Bonjour,

Avant de rétablir la vérité, un grand merci à Diégo pour cette mémorable reconstitution !

La seconde bataille, post mortem, a débuté dès que les armes de plomb se sont tues.

Les Alliés sont très optimistes sur leur situation au moment où la partie s'arrête. Je n'ai entendu aucun orage, ludique ou non, qui sauverait l'armée française d'un soi-disant désastre par de soi-disant gentillesses de l'arbitre (serait-il partial en faveur des Français, selon les communautaristes alliés ?).

La droite française est en situation avantageuse. Wachau est fermement tenu par une division de (vraie) jeune garde, appuyée par l'artillerie de Victor, disponible, l'infanterie de Victor, finalement pas si abîmée que cela, 9 figurines sur son ensemble soit 4 PP par régiment, ce qui les rend encore opérationnels pour une éventuelle contre-attaque sur le village. L'artillerie à cheval des I et IV corps de cavalerie (12 pièces ludiques), plus ces corps peuvent non seulement résister à l'attaque de la réserve autrichienne mais au surplus menacer l'infanterie de Hessen-Hombourg, dont le flanc droit est en l'air.

En face, Kleist a perdu TOUTE son artillerie et ne pourra pas la récupérer, la cavalerie de la réserve autrichienne ne pourra que très difficilement mener des attaques avec Wachau dans son flanc droit tenu par des voltigeurs de la garde. Ils ont essayé sur de l'infanterie en colonne, sans se faire tirer dessus et cela a échoué largement, alors avec un feu de flanc ! Reprendre la village, certes, mais avec qui ? Kleist est très abîmé et n'a plus d'artillerie. La réserve d'artillerie autrichienne ? elle sera bien occupée avec celle qui lui est opposée et qui est intacte (elle n'a pas participé au duel d'artillerie). Colloredo ? Pour le moment, il n'est pas présent, c'est un fait, et quand il arrivera, il sera attendu car les mesures adéquates pour la défenses de Wachau seront prises, car nous en auront le temps de le faire.

Victor n'a reçu aucune gentillesse de l'arbitre, aucun cadeau ! Il a été au contraire dans l’œil du cyclone, faisant face à 21 pièces (ludiques) avec seulement 8 pièces ! Pourtant, malgré l'adversité (des Français devenant Polonais , une charge échouant à un point près, donc zéro cadeau de l'arbitrage, très bon sur notre table), etc., menant à une dose de stress déjà très forte, il a repris Wachau et n'a entendu aucun orage, le temps est toujours sec à Wachau !

Tout reste à faire pour les Alliés.

[MANÉ Diégo]

Avant de commencer à commenter les combats proprement dits je vous mets le "traditionnel" sujet "avant la bataille", illustré d'une première série de "portraits" de généraux-joueurs. C'est ici :

http://www.planete-napoleon.com/docs/Wa ... 3avant.pdf

Ce petit travail à rejeté mes tentatives d'y ajouter les "Caractéristiques Nationales L3C pour Wachau 2013", et donc je vous les pose dans la rubrique ad'hoc, ici :

http://www.planete-napoleon.com/docs/L3 ... AU1813.pdf

A suivre le débriefing et d'autres photos, sans préjudice de rapports, de l'état des pertes, etc...

Diégo Mané

[MASSON Bruno]

Olivier, les faits te donnent tort, mais ce n'est pas ce qui ralentit un communiqué français, n'est-ce-pas ?

Dans les faits, et impartialement de ma vue d'arbitre (qui est la raison pour laquelle je ne me suis pas impliqué dans le jeu, Patrick, on ne peut pas faire les deux sans biais):

- les Français ont repris Wachau de manière nette et sans appel, mais le tenir va être coûteux, car en face à courte portée se trouvent les trois batteries de 12 autrichiennes de la réserve de l'armée de Bohème, qui n'ont plus de cible... à mitraille ça fait 11 PP et à boulet 8 PP par volée; la jeune garde va mourir façon Plancenoit avec deux ans d'avance, les Prussiens seront reformés juste au moment où ils seront "mûrs".

- au centre, les Coalisés ont gagné le duel d'artillerie des grandes batteries, ce qui veut dire que les troupes en face sont mortes à courte échéance.

- le flanc de Hessen-Hombourg, soi-disant "en l'air", est appuyé sur la cavalerie de Nostiz, donc il est assez tranquille vu que tu n'as aucune infanterie à mettre en face, et que Milhaud et Kellermann sont assez entamés et de qualité bien inférieure. Seule leur artillerie leur permet de se maintenir.

-les Français n'ont plus de réserves, sauf à engager la vielle garde à pied, puisque la garde à cheval vient de commencer à se suicider (il est d'ailleurs symptomatique que ce soit en commençant par les polonais ); du côté coalisé, restent Colloredo (7 bataillons à 12, 3 escadrons à 4 et 2 batteries de brigade) et Galitzin (9 escadrons de cuirs russes dont 3 de garde, 3 escadrons de cavaliers légers garde, et encore 2 escadrons de GdK prussiens intacts). Ermolov et Nostitz sont aussi très peu entamés, mais en ligne donc plus dans les réserves.

-tu sais que nous n'avons pas pu aller au bout de la bataille, d'où l'"orage stratégique".