MANÉ Diégo a écrit:Beuargh aussi, Thierry,
Encore un réflexe «communautariste» de la CJC (Communauté des Joueurs Coalisés), arc-boutée sur ses avantage acquis, qu’en l’occurrence personne ne remet en cause, même si on en cause !
Je rappelle que «Dieu est neutre» qui en l'occurrence ne cherche qu’à améliorer l’"évangile".
Diégo Mané
Comme je suis Prussien (le plus vieux du club puisque quand je suis arrivé au club, il n'y avait jamais eu de joueur prussien
) et souvent le plus revendicatif
, je viens mettre mon grain de sel :
"Dieu est neutre" ,cité ci- dessus me laisse pantois,car ... mais bon on va considéré que ce n'est pas le problème ici.
Je joue effectivement des btls de landwehr à 16 figurines ( ce qui fait dire à certains qu'ils sont gros), je n'ai jamais nié que cela n'était valable que dans certains cas et me permettait de jouer le troisième rang détaché ! C'est pas terrible mais c'est théorique et j'ai pu comprendre les vrais problèmes des généraux prussiens.
Quant à leur comportement, il est mauvais et très variable (surtout pour la cavalerie, qui contrairement au texte cité, ne chargera que partiellement en "cosaque") en 1813 et en 1815 (surtout avec les westphaliens dont les ordres devaient être donnés en français, je le rappelle pour qu'ils puissent être compris). Le moral est au mieux L4M(un landwehr bien encadré) au pire M2(wesphalien).
Les Landwehr, n'étaient pas derrière, le texte
http://www.planete-napoleon.com/docs/18 ... sienne.pdf l'explique, et je rajouterai que comme à Wartemburg (1er octobre 1813), les landwehr à pieds étaient "fébriles" au feu !
"Dieu" fait référence aux avantages acquis, le problème , c'est que les "Français", peu les jouent avec leurs nationalités différentes (belge (sûrement les meilleurs), hollandaise, allemande vieille, allemande récente, italienne, espagnole,suisse) et le mauvais commandement français qui débarque à partir de 1809 mais qui est flagrant en 1813 à l'échelle de la compagnie. Et à cette époque, peu sont vraiment motivés pour être agressif, surtout parmi les officiers, gardes et certains cavaliers exceptés. N'oublions pas par exemple, que nombre de troupes "françaises" se sont débandées devant l'ennemi que ce soit à Lützen ou à Leipzig, et qu'elles soient d'infanterie ou de cavalerie. Certaines batteries ont aussi abandonnées rapidement leurs pièces !
Thierry, même si Dieu n'est pas neutre et que "l'évangile" a des améliorations quelquefois bizarres
et qui doivent être souvent expliquées, et comme la modélisation doit s'adapter à l'Histoire, les Prussiens gagneront ! A Diégo de trouver la solution !